Carte postale début 20ème siècle et oeufs décorés en 2015

Patrimoine de Jaligny et des alentours                

Jean de Lingendes (poète) , Claude de Lingendes (prédicateur jésuite), Jean de Lingendes (aumônier de Louis XIII), 3 cousins et 3 personnalités du 17ème siècle, tous issus d’un ancêtre commun vivant au bourg de Chavroches, Guillaume de Lingendes, au milieu du 15ème siècle.

                Chanson  de Jean de Lingendes


  Si c’est un crime que l’aimer

L’on n’en doit justement blâmer

Que les beautés qui sont en elle,    

    La faute en est aux dieux       

Qui la firent si belle :  

      Mais non pas à mes yeux.

 

  Car elle rend par sa beauté

Les regards, et la liberté

Incomparables devant elle.    

    La faute en est aux dieux      

  Qui la firent si belle :  

    Mais non pas à mes yeux.

 

  Je suis coupable seulement

D’avoir beaucoup de jugement

Ayant beaucoup d’amour pour elle.  

      La faute en est aux dieux    

    Qui la firent si belle : 

      Mais non pas à mes yeux.  

 

Qu’on accuse donc leur pouvoir,

Je ne puis vivre sans la voir,

Ni la voir sans mourir pour elle.    

      La faute en est aux dieux       

  Qui la firent si belle :        

  Mais non pas à mes yeux. 

Jean de Lingendes (né vers 1580 et mort vers 16151) est un poète français. IL appartient à une famille noble importante de la région de Moulins.  Il fut secrétaire du duc de Mayenne. À Paris, Jean de Lingendes fréquente l'hôtel de Rambouillet, haut lieu de la vie littéraire et intellectuelle du XVIIe siècle, où la marquise de Rambouillet tenait salon. 
Il s'illustre dans la poésie lyrique. Il est l'auteur d'un poème composé de cinq chants et près de trois mille vers divisés en sixains, Les Changements de la bergère Iris. Dans les Stances, Lingendes se situe dans l'héritage des élégiaques latins.
Le nom de Lingendes est cité dans Les Caractères de Jean de La Bruyère, présenté comme le contraire d'un sot : « elle va d'égal avec les grandes âmes, avec celles qui font les bonnes têtes, ou les hommes d'esprit. L'âme d'Alain ne se démêle plus d'avec celle du Grand Condé, de Richelieu, de Pascal et de Lingendes ». 

Le poète Jean de Lingendes appartient à la 6ème génération qui descend de Guillaume de Lingendes, propriétaire de la Barre à Chavroches. Son père était avocat à Moulins mais sa mère et sa sœur venait souvent à Chavroches. Leur métairie de la Barre fut la demeure de sa mère quand elle fut veuve à partir de 1614. Cette métairie de la Barre passa ensuite à Catherine de Lingendes, la fille du poète, et resta ainsi dans la famille de Lingendes jusqu’à la moitié du 18ème siècle.
Jean de Lingendes, le poète, eut deux cousins célèbres au 17ème siècle. D’abord Claude de Lingendes, prédicateur jésuite dont les sermons étaient réputés, et un autre Jean de Lingendes, évêque de Maçon, aumônier de Louis XIII qui prononça son oraison funèbre en 1643 à Saint Denis.

INAUGURATION DE L’ÉCOLE DE SCOLARITÉ PROLONGÉE le dimanche de St Hippolyte 8 août 1937

**Jean Zay (1904-1944)** fut un homme politique, avocat et résistant français. Né à Orléans dans une famille républicaine et laïque, il devint avocat après des études de droit. Élu député du Loiret en 1932 sous l'étiquette radical-socialiste, il se distingua par son éloquence et sa modernité. Ministre de l'Éducation nationale et des Beaux-Arts de 1936 à 1939 sous le Front populaire, il prolongea la scolarité obligatoire à 14 ans et réforma l’enseignement pour le rendre plus accessible. Il initia également la création du Festival de Cannes et modernisa les institutions culturelles françaises. 

Mobilisé en 1939, il fut injustement accusé de trahison par le régime de Vichy en 1940 et emprisonné. Résistant dans l’âme, il fut assassiné par la Milice en 1944. Jean Zay reste une figure emblématique de la République, incarnant la lutte pour la justice, l’éducation et la culture.

Depuis le 27 mai 2015, sa dépouille repose au Panthéon.

     Photos des classes de la scolarité prolongée de l'année scolaire 1938-1939. Classe de garçons avec Pierre Labonne et la classe de filles, dite "classe ménagère" avec Fernande Labonne.

 Une chronologie simplifiée :


- avril mai 36 : élection du Front Populaire
- 4 juin 36 : formation du gouvernement de Léon Blum. Jean Zay a appris sa nomination le jour même par téléphone.
- 9 août 36 : promulgation de la loi sur la prolongation de la scolarité à 14 ans
- 19  novembre 36 : présentation au conseil municipal de Jaligny du projet de  création de classes de scolarité prolongée
- 21 janvier 39 : réunion du conseil  municipal pour la présentation des comptes définitifs après la réception  définitive des travaux.

Conclusion simple : en  2 ans (1937 et 1938) Jaligny a acheté la propriété dite de l'hôpital, a  aménagé le parc qui est devenu aujourd’hui l'emplacement des chalets de  la Besbre, a fait des travaux d'aménagements intérieurs pour obtenir 2  classes, un logement de fonction, une cantine, des ateliers pour les  garçons et les filles.
Mais ce n'est pas tout : la  municipalité a construit des bains douches dont elle fixe les prix et  les horaires d'ouverture dans la réunion du conseil du 18 mars 39 et elle a aménagé le terrain de football avec un  terrain de basket-ball attenant. Elle prévoit une fête sportive en avril  39 dont la date sera fixée en fonction des disponibilités du préfet.

La déception des premières années

Comme le montre les photos de classe de l'année scolaire 1938-39, les effectifs sont réduits : 16 élèves pour 2 classes. Ce phénomène va s’accentuer en 1941 avec seulement 7 élèves au total. Le conseil municipal demande alors une réorganisation de la scolarité. L'inspection académique fait alors la proposition de réduire la scolarité prolongée à une seule classe mais de créer une classe de préparation à l'entrée au cours complémentaire et une classe enfantine car les effectifs sont suffisants. La classe enfantine est effectivement créée à la rentrée 1941.

Bains douches juste avant la construction du gymnase actuel.

 

 

 

Ancien portique pour le grimper de corde

Henri Jean-Baptiste Tillié, maire de Jaligny de 1929 à 1944

Henri Tillié est né en 1879 et il est décédé en 1958. Il habitait en bas de la rue de la Couzenotte, en 1936, avec son fils Georges (1906-1987). Ils étaient négociants en vin à l'emplacement de l'actuel centre social rural. Henri Tillié avait terminé la grande guerre avec le grade de capitaine et avait été récompensé de sa bravoure par la légion d'honneur.

Ce fut un maire constructeur puisqu'on doit à son conseil municipal la réalisation de l'ensemble "mairie - salle des fêtes - poste en 1930 puis l'achat en 1937 de la propriété dite de l'hôpital pour en faire l'école de scolarité prolongée. Pendant ses mandats, le marché couvert fut agrandi en 1933. La commune adhéra au syndicat intercommunal pour l'électrification des campagnes. Le champ de foire fut agrandi et le conseil s'attacha à promouvoir les foires de Jaligny. Il n'hésita pas à prendre des risques financiers par des emprunts importants pour financer  toutes les réalisations.

Photo du bas de la rue de la Couzenotte. On aperçoit, en bas à gauche, un homme avec des tonneaux qu'il sort de la cave de l'actuel centre social. Cette cave sert actuellement de lieu de stockage pour "Mine de riens"

4 décembre 2024 
 FETE DE SAINTE BARBE

    Sainte Barbe, martyre chrétienne du 3ème siècle est souvent représentée avec une tour, symbole de son enfermement par son père. Elle est la patronne des mineurs et des pompiers. Sa foi inébranlable face à la persécution et sa protection contre la foudre en font une figure vénérée dans de nombreuses traditions.

    Traditionnellement une messe de Ste-Barbe était célébrée chaque année en  l'église de Jaligny en présence (ou en l'honneur) des sapeurs-pompiers  de la commune. Depuis 2023 la messe n'a plus lieu, mais monsieur le curé  se rend à la caserne pour bénir les camions et surtout l'ensemble du  corps des sapeurs-pompiers.

UNE JALIGNOISE, LA PREMIÈRE FEMME A VIVRE UNE BOUCLE (ou looping) AU PRINTEMPS 1914

    Eudoxie Cutxan a 37 ans en 1913. Elle est la fille aînée d’Othon Cutxan, juge de paix à Jaligny. En 1913, elle est institutrice à Berlin. Elle se marie à Jaligny en mars 1918 et elle est dite alors « femme de lettres ».
    A l’automne 1913, elle s’est passionnée comme au moins 500000 berlinois pour les exploits d’un aviateur français de 24 ans, Alphonse Pégoud, un as de la voltige aérienne qui fut le premier à réaliser une boucle (ou looping) avec son avion. Eudoxie fait la connaissance de Pégoud qui lui promet de revenir au printemps 1914 pour la faire monter dans son avion. Promesse tenue car, entre temps, Pégoud a acquis un avion biplace. C’est ainsi qu’Eudoxie Cutxan est devenue la première femme à vivre une boucle aérienne. Le 21 novembre 1915, elle publie les souvenirs du bonheur immense qu’elle a éprouvé pour rendre hommage à Alphonse Pégoud qui est mort en combat aérien le 30 août 1915. Pégoud venait de recevoir la légion d’honneur. Il eut droit à des funérailles solennelles à Paris et fut enterré au cimetière Montparnasse.
Les Annales politiques et littéraires est une revue française créée en 1883. Elle est  constituée de textes signés de noms prestigieux du milieu littéraire. Cette revue connaît rapidement un franc succès, notamment auprès de la bourgeoisie de province. En 1917, elle tirait à près de deux cent mille exemplaires
   Voici un extrait du texte signé Eudoxie Pégoud.
« L’appareil s’envole, le rêve se réalise, la réalité est un rêve intensément vécu. La terre m’apparaît comme un jardin enchanté. On vole, on grimpe tantôt sur une aile tantôt sur l’autre. A quand la boucle ? C’est délicieux, c’est divin, Bravo Pégoud ! Puis nous bouclons la boucle une fois, deux fois, trois fois et quatre fois de suite. J’étais enivrée, exaltée, transfigurée ! »

 

Pour lire l'ensemble des souvenirs d'Eudoxie Cutxan avec Alphonse Pégoud, il suffit de cliquer sur le bouton : 

OTHON CUTXAN, JUGE DE PAIX A JALIGNY


   En France, la justice de paix était un tribunal de première instance qui existait sous l'Ancien Régime et dans les premiers temps de la République. Toutefois, le terme "justice de paix" fait désormais référence à des tribunaux d'instance ou à des fonctions spécifiques dans l'organisation judiciaire actuelle.
Historiquement, la justice de paix était un tribunal chargé de régler les petits litiges, souvent de nature civile et commerciale, mais aussi certains conflits familiaux, comme les affaires de tutelle ou de divorce. Son rôle était de permettre une justice plus accessible, rapide et simple, souvent sans intervention d'avocats, et elle avait aussi une fonction de médiation. Il y avait un juge de paix par canton.

 

    La salle de justice de paix existe toujours dans les locaux de l’ancienne mairie, au-dessus de la salle de mémoire. Lorsque la justice de paix a été supprimée en 1959, cette salle est devenue un lieu de réunion pour les associations jalignoises.
Le juge de paix pouvait être assisté d’un huissier et d’un greffier. Il n’y avait pas d’avocat. Sur la photo prise avant 1923, on voit le juge de paix Thimothée Othon Cutxan au centre de la photo. Il est resté 28 ans juge de paix à Jaligny. Il avait pris son poste en 1895 jusqu’à sa mise à la retraite, atteint par la limite d’âge à 75 ans. A gauche, un huissier et, à droite de la photo, le greffier. Les deux personnes au premier plan viennent exposer leur cause.


   Othon Cutxan était né dans le Lot et Garonne et avait eu, avant de s’installer à Jaligny, une carrière de notaire à Lantriac, commune à 15 kms du Puy en Velay. Il y a été maire de 1878 à mai 1888.  Il a eu 4 enfants. Son seul fils est mort au combat au début de la guerre.
Les documents manquent pour l’instant pour parler de son action et de sa personnalité. Il aurait eu un aspect physique remarquable car d’une taille bien inférieure à la moyenne.

Ci-dessus, le recensement de Jaligny en 1901 : Othon Cutxan y figure avec son épouse et deux de ses enfants.

 

Encart dans le journal officiel de la République française : 28 ans 1 mois et 17 jours comme juge de paix et une pension de retraite de 3932 francs.

Auguste Sauroy, un peintre-décorateur
emblématique de la Belle Epoque, à Jaligny.

Les acteurs du comité des fêtes de Jaligny les samedi 9 et dimanche 10 février 1935. Le spectacle s'appelait "Le cirque Touquendèche"

Auguste Sauroy (Tours 1864 - Trévoux 1946), peintre-décorateur, est arrivé à Moulins, venant de Tours, en 1889 où il retournera une quinzaine d’années plus tard. Il exerce aussitôt son talent à Moulins dans la maison Mantin, au Grand café et au théâtre municipal, à Vichy à l’hôtel des Sources, etc. Auguste Sauroy ne se contente pas d’exceller dans son domaine favori, il est  aussi musicien, écrivain, conférencier. C’est ainsi qu’il s’implique dans la réalisation de revues et de cavalcades qui, toutes, remportent un beau succès populaire. 

 

Il faut ajouter une page aux œuvres de cet artiste « touche-à-tout ». La commune de Jaligny inaugure, en 1933, un ensemble architectural regroupant une salle des fêtes, une nouvelle mairie et le bureau de poste selon les plans de l’architecte Génermont. On ignore comment, et par quelles relations, Auguste Sauroy est venu à Jaligny. Un comité des fêtes dynamique existe pour profiter de la nouvelle salle dont Auguste Sauroy réalise le rideau de scène.

 

Il compose le spectacle des 28-29 janvier 1933 « JALIGNY-REVUE » et écrit les paroles de la chanson d’entr’acte que le public peut chanter sur un air connu à l’époque : »Les Fraises et les Framboises »

En 1935, il met en scène la pièce « Le cirque Touquendèche » qui est jouée le 9 et 10 février.

 

Cliquer sur le bouton joint pour lire la présentation complète

 

AVEU ET DENOMBREMENT que donne au roy par devant vous monsieur le lieutenant general et officiers de sa majesté en sa province de Bourbonnais, dame françoise de quatrebarbes de la rongere baronne de saint denis du maine et dame du coudraz et autres lieux, veuve de puissant seigneur et messire éléodor clément guillaud de la Motte chevalier baron de Jalligny, Boucé, Treteaux, Sorbier et autres lieux et places, brigadier des armées du roy et son lieutenant en cette province de Bourbonnais, colonel du régiment de la motte, au nom et comme tutrice de Messire Henry léon Guillaud de la Motte chevalier lieutenant du roy de cette province capitaine du chateau royal de moulins capitaine dans le régiment de provence infanterie seigneur baron de Jalligny leur fils, des choses quelle possede noblement audit nom en fief foy et hommage de sa majesté à cause de la baronnie de Jalligny , chatellenie de treteaux, seigneurie de sorbier, de vécé, laras, et autres fiefs joints et annexés à laditte baronnie de Jalligny appartenant audit sieur de la Motte son fils, suivant le testament olographe dudit defunt seigneur de la Motte du vingt mai mil sept cens sept desquels fiefs baronnie et seigneurie laditte dame de la motte audit nom a fait foy et hommage à la chambre du domaine de cette province le dix sept décembre mil sept cent seize, relative a celle faite pour laditte baronnie de jalligny par dame antoinette damboise comtesse de varax baronne de jalligny dame de Barbezieux veuve de puissant seigneur messire antoine de la Rochefoucault chevalier de lerdre gouverneur de Paris et isle de france le vingt et un septembre mil cinq cent quarante.

UN DOCUMENT EXCEPTIONNEL

    Ce document, dont l'introduction originale et sa transcription sont ci-dessus, est exceptionnel car il est unique étant donné que le château de Jaligny ne possède aucune archive ancienne. Il est exceptionnel également car il est consultable et téléchargeable en ligne dans un lieu surprenant : les archives numériques du Québec à Montréal.  Pour voir le document, il suffit de cliquer sur le lien ci-contre.

COMMENTAIRE

     Ce document est rédigé en 1726, au château de Jaligny, par les notaires, en présence de deux témoins et il en a été fait 3 exemplaires. Il s'agit d'un long document de 100 pages avec table des matières à la fin, qui fait l'inventaire de toutes les propriétés et droits du baron de Jaligny. Cet inventaire s'appelle "un dénombrement". On parle aussi "d'aveu" car ce mot fait référence à la cérémonie de "foy et hommage" que tout seigneur doit faire en l'honneur de son suzerain, le roi Louis XV en 1726. Dame Françoise de Quatrebarbes est veuve du baron de Jaligny, messire Eléodor Clément Guillaud de la Motte. Elle fait réaliser l'inventaire de ses biens et droits au nom de son fils Henry Léon Guillaud de la Motte, héritier d'après le testament olographe de son père et dont elle est la tutrice.

 

Un autre site peut aussi être consulté pour avoir une présentation globale de l'histoire de Jaligny : l'article de Wijipédia à propos de Jaligny. La partie historique est précise, fiable car bien documentée. Voici le lien : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jaligny-sur-Besbre

LA RENOVATION DE LA FONTAINE DU BOURG

    Vous connaissez probablement notre Fontaine. Elle s'est beaucoup dégradée au cours des derniers mois et elle est très mal en point.

La politique patrimoniale de la commune de JALIGNY rejoint nos aspirations à voir entretenu le bâti ou le patrimoine vernaculaire. Rappelons notre investissement pour l’aménagement de la Place du monument aux morts inachevée depuis un siècle.

Le conseil municipal a accepté de s’engager dans la restauration la Fontaine (puits). Pour rappel, en son état actuel, elle date de la seconde moitié du 19ème siècle.

Depuis des temps immémoriaux, elle a alimenté la population de la ville close. Sa dernière restauration remonte aux années 1920 car, à la suite d’une sécheresse prolongée, la source semblait tarie. L’eau venait par « filtration » d’une citerne située sous une maison voisine. Le conseil municipal décida de « faire toutes les réparations utiles et notamment de diriger le tuyau d’aspiration sur la citerne située sous la maison des héritiers Boudeville. »

L’ensemble de l’édifice actuel est en grès rouge, surmonté d’un bâti métallique avec un levier à bascule. Tombé en désuétude, il est devenu « un site mémorial » d’un mode de vie ancien. 

La commune a déposé une demande de subvention "dotation d’équipement aux territoires ruraux a été sollicitée". Elle pourrait être à hauteur de 45 % de la dépense HT qui s'élève aujourd’hui à plus de 13 500 €. La Communauté de Communes pourrait abonder le financement à hauteur de 1500 € maximum.

Afin de soulager les finances municipales, la Fondation du Patrimoine a été sollicitée. Le club des Mécènes de cette fondation a alloué une somme de 3000 € pour faciliter cette rénovation et notre association, les Amis du Patrimoine de JALIGNY suite à l'assemblée générale du 5 novembre 2022 a décidé de faire un don de 500 €.

Mais le pendant de la générosité de la fondation du Patrimoine est de lancer une souscription, afin de collecter la différence entre les fonds déjà envisagés et la dépense totale. Vous pouvez télécharger le bon de souscription. Les petits ruisseaux font les grandes rivières. OU FAIRE UN DON SUR LE SITE INTERNET DE LA FONDATION : taper Fondation du patrimoine Jaligny dans un moteur de recherche.

VOTRE DON EST DÉDUCTIBLE DE VOS IMPÔTS SUR LE REVENU, À HAUTEUR DE 60 % DU MONTANT INVESTI DANS LA LIMITE DE 20% DU REVENU IMPOSABLE.

Vous trouverez toutes les informations sur cette rénovation et votre éventuelle participation à l’adresse suivante : Puits-fontaine de Jaligny-sur-Besbre (fondation-patrimoine.org)

Nous vous remercions de votre action pour notre fontaine.

Nous comptons sur votre générosité.

Deux sites à consulter

AGENDA

 samedi 28 juin 2025 : Théâtre au château du Lonzat, à 19 heures.

 

 

 

 

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Les Amis du Patrimoine de Jaligny

Pour contacter le site internet

Vous pouvez joindre le site internet des "Amis du patrimoine de Jaligny" par l'adresse mail suivante :

patrimoinejaligny@orange.fr